Ce qu’on a vu—mai 2025
Montréal vibre au rythme du FTA, évènement théâtral attendu de pied ferme par les membres de notre équipe. Voici les spectacles qui nous ont impressionné·e·s jusqu’à présent.
Avec des titres comme tu penses-tu, désert alimentaire et tranquillement pas vite, le groupe comment debord (en minuscules, s’il vous plait) incarne une certaine idée du Québec nouveau et de la vie en ville, à Montréal. Des héritier·ère·s de Beau Dommage?
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comment debord
Trois ans après sa première offrande, le septuor montréalais comment debord revient avec un superbe album qui résonne de candeur et de caractère. Avec 12 titres qui possèdent «juste le bon niveau de clarté dans les idées», l’album sans majuscule fait mouche grâce à une maturité musicale et une identité que l’on sent bien formée. Heureux mélange de country, de disco, de funk et de folk, la musique du groupe se distingue également par ses paroles: accessibles et poétiques. Il s’avère difficile de ne pas les fredonner en marchant sur la fin de l’automne.
— Héloïse Henri, collaboratrice
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Dans «Hewa Rwanda», le dramaturge et acteur kigalien Dorcy Rugamba jette un éclairage nouveau sur le génocide auquel il a échappé. D’ailleurs, le continent africain est très bien représenté à la 19e édition du FTA.
La primoromancière Myriam de Gaspé impressionne avec «L’embouchure», un livre traversé par le fleuve Saint-Laurent qui parait ces jours-ci aux éditions Les Herbes rouges.