«Là où je me terre»: un monde à traduire

Jason Béliveau
Photo: Nicola-Frank Vachon
Publié le :
Critique

«Là où je me terre»: un monde à traduire

L’adaptation théâtrale du roman autobiographique à succès de Caroline Dawson (Prix littéraire des collégien·ne·s 2022) débarque sur les planches du Théâtre La Bordée, à Québec. L’œuvre livrée réussit à émouvoir, malgré quelques maladresses de mise en scène. 

Le défi que se sont lancé Michel Nadeau et Guillaume Pepin, respectivement à l’adaptation et à la mise en scène, était périlleux. La construction fragmentaire du roman de Dawson—une quarantaine de brefs chapitres; autant de polaroïds disparates d’une enfance déracinée—présageait une restructuration importante. Pourtant, outre quelques entorses chronologiques et la suppression de chapitres plus anecdotiques, le texte d’origine demeure pratiquement inchangé. La parole franche et libre de l’autrice est là, intacte. 

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