Montréal dans leurs mots
De Heather O’Neill à Hubert Aquin en passant par Leonard Cohen, la métropole a été immortalisée par quelques-unes de nos plus grandes plumes.
De Heather O’Neill à Hubert Aquin en passant par Leonard Cohen, la métropole a été immortalisée par quelques-unes de nos plus grandes plumes.
L’autrice des romans «Bermudes» et «Ce désir me point» raconte une femme au quotidien chamboulé.
Merci aux matières naturelles fossilisées par des milliers d’années et aux métaux lourds extraits de la Terre.
Cafés, buvettes, restos... Notre collaboratrice partage ses meilleures adresses dans la métropole.
Art public, parcs, poterie... Voici quelques idées d’activités pour découvrir Montréal.
Au Québec, les services de garde en milieu scolaire célèbreront leurs 40 ans en 2025. Celles (ce sont en très grande majorité des femmes) qui les portent à bout de bras se sont levées pour obtenir de meilleures conditions de travail lors du plus récent Front commun, mais on entend encore trop peu parler de leur réalité.
Cet automne, Hugues Frenette prête ses traits à Paul, le personnage de Michel Rabagliati, dans une adaptation théâtrale tricotée par Anne-Marie Olivier. Un spectacle à voir au Trident, à Québec.
L’écriture inclusive, les points médians et la graphie rectifiée se sont frayé un chemin jusqu’à la rédaction de «Nouveau Projet», sans pour autant faire l’unanimité au sein de notre équipe et de nos collaborateur·trice·s.
Connue pour ses critiques franches et sa plume acérée, la journaliste et autrice Nathalie Petrowski a écorché plus d’un égo. Son audace inégalée fait d’elle une figure incontournable du paysage culturel québécois. Elle nous fait part des valeurs qui la guident dans son travail et sa vie.
Une histoire familiale multiculturelle, un réseau stimulant et des talents variés: la créativité du jeune comédien et auteur de «Chevtchenko», prochaine pièce à paraitre chez Atelier 10, s’abreuve à de nombreuses sources et promet le meilleur pour l’avenir.
Le Canada souhaite subventionner le captage et le stockage du CO2 à coups de crédits d’impôt de plusieurs milliards de dollars. Ces technologies polarisent, tantôt considérées comme des outils essentiels à l’atteinte de la carboneutralité, tantôt comme une distraction permettant aux industries les plus polluantes de maintenir leurs activités. Nos fonds publics sont-ils ici bien investis?